21 Décembre 2013
Kenneth Parks, 23 ans, vivait dans Pickering, près de Toronto, en Ontario, avec sa femme et sa fille bébé. Il avait perdu un bon travail, en raison de son détournement de fonds, et a souffert d'une dépendance au jeu qui l'avait mis en situation de surendettement. En conséquence, il a connu un niveau élevé de stress qui induit l'insomnie. Une nuit, le 23 mai 1987, il se leva de son lit et monta dans sa voiture. Malgré, dit-il plus tard, de ne pas être éveillé, il a conduit à environ 14 miles à la maison des parents de sa femme à Scarborough. Comptes disent il a ensuite retiré un démonte-pneu de la voiture et entra dans la maison, où il se mit à battre sa belle-mère à la mort et étouffer son beau-père dans l'inconscience. Il a également utilisé un couteau de la cuisine de ses beaux-parents à les poignarder.
Vue aérienne de Toronto
Il a ensuite conduit à un poste de police, un gâchis éclaboussé de sang, "Je pense que j'ai tué des gens avec mes mains nues", a répété à plusieurs reprises. de graves coupures à ses mains attestées à une lutte, et après que la police l'a placé en état d'arrestation, ils l'ont emmené à l'hôpital pour un traitement sur les tendons sectionnés. D'autres policiers sont allés chercher les victimes. Tout comme il les avait dit que sa belle-mère était mort et son beau-père était dans un état grave.Son beau-père a été emmené à l'hôpital et il a récupéré.
Parks affirmé qu'il ne se souvenait plus de l'agression. Ses relations avec ses beaux-parents étaient bonnes, en dépit de sa situation financière, et il a affirmé qu'il n'avait aucune raison de leur faire du mal. Alors que sa femme était d'accord avec son manque de motivation, elle a été horrifié par ce qu'il avait fait apparemment.
Parks avaient des antécédents de somnambulisme, si son avocat a décidé sur la défense d'automatisme. Elle a organisé un panel d'experts pour décrire au jury la nature de l'état d'automatisme, y compris la possibilité que quelqu'un pourrait conduire une voiture sans la pleine conscience et aussi commettre des attentats et des meurtres sans intention criminelle requise pour examiner le actes d'agression et d'assassinnt. L'équipe était composée de psychiatres, un psychologue, un neurologue et un spécialiste des troubles du sommeil, et ils ont tous conclu que, au moment de l'infraction Ken Parks avait été endormi. Sa défense était somnambulisme homicide.
Le somnambulisme est diagnostiqué comme étant un trouble neurologique avec un stimulus externe, ou un trouble psychiatrique avec un stimulus interne. Les experts ont décrit les mesures prises par Parks à la suite de nombreuses circonstances convergentes: il avait l'intention de fixer le four de sa belle-famille, il a été utilisé pour la route qu'il faudrait pour se rendre à leur maison, et il était inquiet du stress et des inquiétudes pour sa procès de détournement de fonds à venir.Dans son sommeil, quelque chose l'a poussé à prendre soin de la faveur, et quand il est allé pour fixer le four, il a été surpris par ses beaux-parents. Il a attaqué à la fois, sans savoir ce qu'il faisait. Pour renforcer la défense, l'histoire de sa famille des troubles du sommeil a été soumise.
Dr R Billings, un psychiatre, a expliqué que l'esprit pendant le sommeil était indépendante de l'esprit conscient "en fonction de ses objectifs." Il ya moins de contrôle ou un moyen de diriger, comme ses actions "font partie d'un processus incomplet d'excitation au cours de laquelle tous les chercheurs ont conclu que la volonté n'est pas présente." Parks ne peut avoir entendu les actes ni apprécié ce qu'il faisait. Il n'aurait pas été conscient de conséquences juridiques parce que l'attaque avait été «incontrôlée et sans intermédiaire."
Les experts ont dit que Parks n'a pas eu une maladie pré-existante de l'esprit au sens du Code criminel canadien. Il n'était pas psychotique et le «regroupement d'un nombre de facteurs déclenchants est très peu probable de se produire à nouveau." En d'autres termes, il n'était pas un danger pour les autres à l'avenir. Pour renforcer cette prévision, les experts ont témoigné d'autres cas dans lesquels il y avait eu pas de répétition de la violence.
L'épouse de parcs, maintenant rangeant avec lui, a également témoigné pour sa défense. Elle a réitéré qu'il avait eu aucun motif et n'avait jamais été violente qu'elle connaissait. Il avait eu une bonne relation avec ses parents. C'était un procès très médiatisé, avec de forts sentiments des deux côtés. Le jury fait face à une décision difficile.
Cour suprême du Canada
Le 25 mai 1988, le jury a acquitté Parks de l'assassinat et plus tard de tentative d'assassiner.
Bien que le gouvernement a fait appel, en 1992, la Cour suprême du Canada a confirmé les acquittements. Cette affaire a été dans de nombreux comptes de manuels d'automatisme, comme un exemple de cas dans lequel un tueur pourrait ne pas apprécier ce qu'il faisait.
Bien que le verdict était controversé.
un autre résultat a eu lieu, dans le cas de William Wade à Bolton, en Ontario, selon leToronto Star . Sa femme lui a demandé le divorce et, par coïncidence, il aurait alors eu un épisode de somnambulisme qui a abouti à la poignarder, lui courir dehors et à plusieurs reprises frapper sa tête contre un trottoir, la tuant. Il a dit qu'il a rappelé rien de tout cela, mais le jury n'a pas été convaincu. Ils l'ont condamné.
Il est clair, alors, que la défense de comportement inconscient est par elle-même aucune garantie d'acquittement: il est souvent difficile pour les jurés à croire, ou même comprendre une telle défense. Beaucoup dépend des experts dans ces cas.
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Somnambulisme se produit généralement pendant le premier tiers de la nuit et dure une demi-heure ou moins, bien que des épisodes plus longs ont été documentés. Somnambules passent généralement par des routines familières, mais peuvent être agressifs ou violents. Alors que ce trouble est plus fréquent avec le développement des enfants, il peut durer jusqu'à l'âge adulte. La moitié des enfants ont au moins un épisode, mais seulement 5-9 pour cent des adultes de continuer l'habitude. En fait, il ya environ quatre-vingts variations de troubles du sommeil, écrit Jeff Stryker section "Salon.com" Santé et du corps "pour. Se somnambulisme est un "parasmonia."
L'idée est que les systèmes physiologiques normales peuvent être stimulés à des moments inopportuns. Le cerveau émet des commandes et les muscles répondre. Somnambules peuvent rien faire de plus que de s'asseoir ou parler, ou pourraient se comporter dans des activités plus complexes telles que le nettoyage de la maison ou de travailler sur un projet. Si réveillés, ils sont confus et ne pas se souvenir de ce qu'ils ont fait. Ken Parks a affirmé qu'il n'a même pas rappeler en se tournant dans, mais à un certain moment dans le processus a fait réveiller. La cause probable d'un trouble du sommeil qui implique un comportement manifeste est l'absence de la libération ou l'absorption d'un neurotransmetteur responsable de l'inhibition de l'activité motrice pendant le sommeil. En essence, sa chimie du cerveau lui a fait faire. Court de contraintes physiques, il n'avait aucun contrôle conscient sur ce qu'il a fait.
Anglo-saxon de la common law reconnaît que la responsabilité pénale dépend de deux choses:
Le juge des faits (juge ou le jury) doivent considérer excuser le comportement dans ces affaires, sans les deux acte coupable et l'intention, parce que notre société accepte que le dérangé ou ceux qui n'ont pas de contrôle ou d'intention ne doivent pas être condamné de la même manière les gens rationnels qui savent ce qu'ils font. Pour être déclaré coupable, la personne doit à la fois avoir un esprit du mal et faire une mauvaise action. L'exigence de la mens rea , il est possible d'utiliser des états mentaux anormaux d'absoudre culpabilité pénale, mais certains moyens de défense, de la folie temporaire de la prise du médicament forcé à des actions inconscientes, prendre des décisions de jury sur complexe de responsabilité, même physique.
Par exemple, en 1955, un homme inexplicablement attaqué son fils de 10 ans. L'homme a appelé son fils à une fenêtre, l'a frappé à la tête avec un maillet qui a jeté le garçon par la fenêtre, puis chassa. À un certain moment, l'homme a connu un sentiment que quelque chose de terrible était arrivé à la maison, il est retourné à la scène de l'attaque et a été arrêté. La défense au procès, une tumeur au cerveau a causé un état d'automatisme, Il a été jugé non coupable, mais pas avec un acquittement de la folie. L'homme a été considéré comme psychologiquement sain, altéré seulement physiquement au moment de l'attaque.
Dans certains pays, l'automatisme réfute l' actus reus composant. C'est, quelqu'un comme Parks ne pouvait pas agir volontairement sans être complètement conscient. À ne pas confondre avec une impulsion irrésistible, l'automatisme est une défense neurologique, rien à voir avec la folie.Le comportement n'a jamais été sous le contrôle de la personne. Ainsi, en cas d'acquittement, l'accusé est libre de partir. Il ou elle n'a pas à passer par le traitement d'une maladie sous-jacente. La défense ne fonctionne pas, cependant, si l'on peut démontrer que l'accusé avait connu cet état de précédentes occasions et n'avait pas pris des mesures raisonnables pour y remédier. Voyons voir ce que ceux qui étudient ces troubles ont à dire.
Enregistrement polysomnographique
Des chercheurs de troubles du sommeil instituts du monde entier étudient les ondes cérébrales des personnes éprouvant des problèmes de comportement nuisibles. Ils s'appuient généralement sur un outil appelé une polysomnographie pour des lectures neurologiques. La perturbation somnambulisme se produit lorsque le cerveau se réveille, mais n'est pas encore totalement là. La personne est dans un sommeil paradoxal. Les yeux sont ouverts, mais, comme un personnage de Macbeth états sur l'errance nocturne de Lady Macbeth, «leur sens est fermée." Dans un institut en Angleterre, les chercheurs ont vu des somnambules monter un cheval, préparer un repas, la réparation des machines, et portent sur l'apparence d'une conversation. Ils pourraient même manger la nourriture de leur animal de compagnie de la cuvette. Un homme aurait mangé sa propre montre pendant le sommeil.
Lady MacBeth somnambulisme
La même chose est dite d'une personne qui peut avoir subi un coup à la tête ou qui a agi après une crise. Dans tous les cas, si un tel manque de pleine conscience est prouvé, la responsabilité pénale ne peut être fixée.
La loi de l'automatisme est bien développé en Grande-Bretagne, étant souvent liée à une maladie ou un défaut, qui transfère le cas à la mens rea considérations, mais ces cas sont rares aux Etats-Unis Même les accusés qui pourraient l'utiliser ont tendance à s'appuyer plutôt sur une défense de la folie ou de la capacité diminuée. Ce n'est pas facile d'obtenir des jurys de croire que quelqu'un pourrait involontairement commettre un assassinat pendant un somnambulisme.
Ron Voegtli agi par ses cauchemars sur une base régulière, en soumettant sa femme aux violences pendant plus de trente ans. Pendant la journée, elle a dit à ABC Nouvelles, il était un homme merveilleux, mais une heure après qu'il aller au lit, il serait sauter et commencer à crier et à courir. Il pourrait prendre un couteau ou une autre arme comme moyen de protection. Quelques fois il est venu dans la chambre et a frappé sa femme, et une fois qu'il l'a attrapée et a tenté de l'étrangler. Enfin, il a été traité avec des médicaments anti-convulsivants, qui ont contribué à soulager les symptômes. Sinon, son cas aurait pu se terminer plus comme ceux ci-dessous.
La police de Scottsdale, en Arizona, a reçu un appel en 1981 de Steven Steinberg rapports qu'un intrus avait assassiné sa femme, Elena, poignarder en 26 reprises avec un couteau de cuisine de la maison lors d'un cambriolage ratée. Terrible que cela semble, la police n'a trouvé aucune preuve d'un intrus. Ils ont arrêté Steinberg, qui a admis qu'il l'avait fait, bien qu'il ait prétendu aucun souvenir de l'incident. Il a fait valoir qu'il avait été somnambule.
Carte de l'Arizona avec localisateur Scottsdale
Au procès de Steinberg, avocat de la défense Bob Hirsh décrit Elena comme une "princesse juive américaine" exigeant qui avait conduit Steinberg fou. Hirsh fait valoir que Elena trop dépensé et harcelé sans cesse; Steinberg avait finalement eu une réaction violente. Dr Martin Blinder, un psychiatre, a déclaré que Steinberg a connu une courte durée, la réaction dissociative liées au stress. Bien qu'il avait fabriqué une histoire sur les intrus - à peine un symptôme d'automatisme - le jury l'a déclaré non coupable en raison de la folie passagère, il a quitté la cour un homme libre.Il n'a pas à avoir un traitement. Personne ne croyait qu'il était un danger et ils ont accepté la demande que son infraction unique avait été commis sous la contrainte extrême. Les membres du jury qui a présenté des observations après ont dit qu'ils savaient qu'ils libéraient un tueur, mais croyaient qu'il n'avait pas été pénalement responsable.
Dr Martin Blinder
Treize ans plus tard, les choses ont changé pour les jurys de l'Arizona et plusieurs autres Etats à travers le pays. Pas satisfait de l'idée que quelqu'un qui a clairement commis un acte criminel pouvait encore être déclaré non coupable, les politiciens ont ajouté une nouvelle option: coupable mais malades mentaux, ou le verdict GBMI. La personne peut être trouvé à la fois coupable et malades mentaux, et pourrait donc être incarcéré pour une période déterminée, mais aussi traités de manière approprié
La prochaine personne en Arizona à utiliser ce moyen de défense, également dans le comté de Maricopa, était Scott Falater. Le 16 Janvier 1997, Greg Koons entendu crier de la cour de la maison de son voisin. Curieux, il regarda par-dessus la haute clôture et a vu Scott de faire quelque chose dans la piscine. Il faisait sombre, alors il a continué à observer et, à sa grande surprise, réalisé que Scott avait la main sur sa femme, Yarmila, et qu'il ne cherchait pas à lui aider à sortir de l'eau mais plutôt l' a poussait dedans et tenant sa tête sous l'eau. Koons a l'intérieur d'appeler la police.
L'insigne du shérif du comté de Maricopa
Les agents sont venus au domicile de Falater et Scott semblaient surpris de les voir. Il a regardé comme s'il venait de se réveiller, mais ils vérifié dans le dos, a vu le corps dans la piscine et l'a emmené pour interrogatoire. Il semblait horrifié que sa femme était morte et qu'il était en état d'arrestation pour elle.Yarmila avait été poignardé 44 fois et puis à gauche dans la piscine. Scott a affirmé ne pas comprendre comment cela a pu arriver. Il a rappelé que la famille avait eu dîner ensemble ce soir-là et puis il avait sorti pour fixer une pompe de piscine défectueux. Il a obtenu les éléments dont il a besoin, y compris les prêts de ses vêtements de travail, mais a ensuite décidé de le faire plus tard. Il était trop épuisé ce soir. Il pensait qu'il avait tout simplement disparu au lit.
Scott Falater
Koons a décrit ce qu'il avait vu et entendu. Pour lui, il est apparu que Falater savait exactement ce qu'il faisait, mais à un moment, il avait pensé Falater avait paru «robotique». Falater avait enfilé une paire de gants pour faire glisser Yarmila à l'eau et son rouler dedans Il avait même parlé au chien comme s'il était juste en train de faire quelque chose de routine. En fait, l'enquête de police a constaté que Falater, un ingénieur et pieux mormon, avait mis ses vêtements sanglants, ses gants, et le couteau de chasse qu'il avait utilisé sur sa femme dans un récipient de Tupperware en plastique dans le coffre de sa Volvo, et eu puis mettre un pyjama, se lava les mains et même mis un pansement sur une coupure qu'il avait subi. Pourtant, selon lui aucun souvenir de l'événement. Il n'avait même pas réalisé jusqu'à ce qu'un policier l'a fait remarquer qu'il avait le sang de Yarmila sur son cou. L'interrogatoire vidéo a montré Falater apparemment à peine conscient de sa situation, semblant confirmer qu'il avait été dans un état de transe, mais son manque de réaction émotionnelle à la situation - en apparence caractéristique de sa personnalité - pèserait contre lui.
Son avocat de la défense, Michael Kimerer, dirais que si Falater avait essayé consciemment de dissimuler les preuves, il aurait difficilement pu quitté le corps de sa femme flottant dans une piscine de sang, où ses deux enfants pourraient la voir. Falater prétendu être un habituelle somnambule, ce que son épouse avait mentionné une seule fois à un voisin, et Kimerer cru que devait être considérée. Falater avait eu aucune raison de tuer sa femme, dit-il, elle avait été son meilleur ami. Ils avaient été bien Mormons, élever leurs enfants dans la foi, et en quinze ans de mariage n'avaient jamais disputé. Les enfants de Falater dégrossi avec lui, insistant qu'il n'aurait jamais intentionnellement tué leur mère, mais les amis de Yarmila dit qu'elle avait fait allusion à une moins que le mariage idyllique.
Cependant, cet essai dépendrait de la façon dont les experts et effectué tandis que la défense avait deux et le procureur seul, leurs présentations étaient essentiels pour les délibérations du jury. Les journaux avaient déjà exprimé beaucoup de scepticisme, affirmant Falater utilisait une défense de copycat qui avait travaillé auparavant. (Même Falater admis plus tard que s'il avait lu sur ce moyen de défense dans le cas de quelqu'un d'autre, il aurait rejeté comme «feuilletée».) Préalables, il s'est avéré, ne pas assurer les mêmes résultats.
Le procès a été une bataille d'experts des troubles du sommeil, avec des témoignages sur d'autres cas et les descriptions sur les expériences de sommeil, l'agressivité et le cerveau endormi. Procureur Juan Martinez a développé la théorie que Falater devenu séparé de sa femme parce qu'il avait voulu plus d'enfants et qu'elle n'avait pas et parce qu'il avait voulu qu'elle soit plus impliqué dans l'église. C'était le seul motif possible Martinez pourrait déterrer, mais il ne soulignent que, après l'assassiner, Falater avait enlevé chaque vêtement que portait son sang, l'enveloppa et rangés hors de la vue dans le coffre de sa Volvo. Il avait aussi trompé les enquêteurs dont couteau avaient été utilisés, si Falater a affirmé qu'il avait simplement oublié.
Parmi les experts de la défense a été le Dr Roger Broughton, d'un centre des troubles du sommeil dans Ottowa. Il a également témoigné de Parcs Ken. Il a admis que certains des comportements étaient discutables, mais son diagnostic final était somnambulisme homicide.
Dr Rosalind Carter, un expert de Chicago, a également parlé de la défense. Elle avait examiné pendant quatre Falater nuits de sommeil, les expériences avec les autres fait, et selon qu'il était possible d'être agressif lors d'un épisode de somnambulisme. "Ils sont confus," a déclaré elle. "Ils ne sont pas conscients." Pour tenter de donner un sens rationnel de leurs actions et les motivations était de se méprendre sur le cerveau dans un tel état altéré. Elle pensait l'affaire Falater était presque un cas d'école d'un trouble de somnambulisme. Il est possible que dans son sommeil, Falater passait par une certaine routine, telles que le nettoyage de la piscine ou la fixation d'une pompe défectueuse, et Yarmila était sorti pour le faire arrêter et revenir po Son cerveau, interrompu, est allé dans un état d'alarme, et il a attaqué. Mais il n'aurait pas eu satisfaction conscient de ce qu'il avait fait.
Falater eu une histoire de somnambulisme, et même un épisode d'agression pendant le sommeil.Sa sœur a témoigné qu'elle avait une fois tenté de le réveiller pour l'empêcher de sortir et il l'avait jeté à travers la pièce. Bien que ses enfants n'avaient jamais vu un tel comportement, alors qu'il était un adulte, Falater témoigné que lui et Yarmila avait jugé inutile de leur dire.
Kimerer dit que Falater avait subi un certain nombre de facteurs de stress récemment liés à son travail et que son cerveau aurait pu être dans un état de grande excitation de cela. Il avait été faire peu de sommeil. Il avait en effet travaillé sur la pompe de la piscine la nuit, juste après le dîner avec la famille. Il s'était outils, le couteau pour enlever le joint torique, et ses vêtements de travail du coffre de sa voiture, mais avait décidé de retarder les travaux jusqu'à ce que le lendemain. Il était trop fatigué et avait plutôt mis au lit. Apparemment, la réparation est resté dans son esprit parce qu'il avait ressuscité pendant le sommeil pour aller le faire. Yarmila et Scott étaient «âmes sœurs», a déclaré Kimerer, si l'homicide était insensée. Si Falater étaient si l'intention de commettre un crime et de le faire sans être impliqué, n'aurait-il pas mettre les gants avant de la poignarder plutôt qu'entre l'agression et de la mettre dans la piscine? N'aurait-il pas déplacé le corps au lieu de simplement aller au lit?
Cependant, Martinez a mis son propre expert sur le stand, le Dr Mark Pressman, qui sont passés par une analyse détaillée des mesures de Falater et ont dit qu'ils étaient trop complexe pour avoir été les mouvements rote typiques d'un somnambule. Il croyait Falater avait su ce qu'il faisait. "La seule façon que les experts du sommeil pensent que la violence peut se produire avec un somnambule est que quelqu'un les confronte physiquement, se trouve sur leur chemin», at-il dit."C'est clairement impossible sur le deuxième épisode de violence. La victime gisait là près de la mort. Clair qu'elle ne se lève pas et obtenir son chemin. Elle n'a pas l'attraper, elle ne l'empêche pas."
Falater témoigné en son propre nom, en répétant que tout Yarmila avait voulu être moins impliqués dans l'église que lui et ne voulait pas d'autres enfants, il avait respecté sa décision. Il l'aimait et n'avait aucune raison de la tuer.
Ce n'était pas un verdict facile. Le jury a délibéré huit heures avant leur retour le 25 Juin 1999, avec une conclusion que Scott Falater était coupable d'assassiner au premier degré. Il a reçu une peine d'emprisonnement à vie sans possibilité de libération conditionnelle. Les jurés ont dit plus tard qu'ils avaient été influencés par des questions telles que: pourquoi les cris de Yarmila ne lui avaient pas réveillé et pourquoi il avait été l'aide d'un couteau de chasse de fixer la piscine.
Son avocat a employé deux psychiatres qui ont témoigné que Rita avait été somnambulisme au moment de l'incident et ne pouvait pas être considéré comme responsable. Elle avait supprimé rage réactive au cours des années, mais au cours d'un épisode de somnambulisme, elle avait dépensé tout. Le jury, composé de dix femmes et un homme, elle a acquitté de assassiner.
Toutefois, un article dans le Globe and Mail a indiqué que le procureur a fait appel de cette décision et la majorité des juges de la cour d'appel du Québec a renversé l'acquittement, ordonner un nouveau procès. Ils avaient décidé dans un 2-1 vote que le juge d'un tribunal inférieur avait mal compris le concept d'automatisme et donc avaient instruit les jurés de manière incorrecte en ouvrant la possibilité que Graveline avait agi en légitime défense. Dans ce cas, elle aurait été au courant de ce qu'elle faisait.
La Cour suprême du Canada, cependant, a annulé cette décision et a permis l'acquittement de se lever. Dans la décision de la majorité, sept des juges ont déclaré qu'ils ne pouvaient pas conclure que le jury a acquitté Graveline sur une base raisonnable lorsque la Couronne a déjà permis à l'automatisme une défense raisonnable. La combinaison avec la légitime défense n'a pas été une importante source de distraction, de sorte Graveline ne pas avoir à affronter un autre procès.
D'autres femmes ont commis coups de couteau et les vols tout aurait somnambulisme, et en 2003, Patricia Laurent a été acquitté du meurtre de son mari dans leur maison du sud de Londres. Elle a dit qu'il avait été en train de s'étouffer et elle l'a poignardé, mais rien sur l'acte rappelé. Le jury a décidé qu'il était légitime défense, si elle avait connu ou non.
Cependant, la question de l'automatisme sans aliénation mentale est devenue plus controversée, et depuis 1999, les tribunaux ont augmenté plus enclins à dire qu'il devrait y avoir des preuves corroborant considérable pour cet état d'esprit avant d'être autorisé comme moyen de défense.
Dans le Queensland, en Australie, un homme nommé Burgess a frappé une femme à la tête avec une bouteille et a ensuite tenté de l'étrangler. Elle a survécu et frais pressé. Burgess a affirmé qu'il avait été somnambule à l'époque et ne pouvait se rappeler ce qu'il avait fait. Les experts ont été appelés, mais dans ce cas, le trouble a été reliées à son état mental, et il a été trouvé non coupable pour cause d'aliénation mentale. C'était peut-être en raison d'une décision rendue par le juge de première instance que s'il allait soulever une défense d'automatisme, il devait être dans le contexte de la folie.
Carte de l'Australie avec Queensland a mis en évidence
Dr d'Orban a témoigné pour la défense, en accord avec deux autres spécialistes de la santé mentale que Burgess a souffert d'un trouble du sommeil. Il s'est référé à lui comme un «facteur interne" et a dit qu'il était susceptible de se reproduire à nouveau. En d'autres termes, si elle n'est pas traitée, Burgess pourrait agir violemment encore, de la même manière, parce que l'automatisme a été associée à une pathologie physique, une "anomalie de la fonction du cerveau." D'Orban a indiqué que Burgess être détenu dans un hôpital et traitée.
Le juge a estimé que la violence dans le cas semblait sans cause, c'est à dire qu'il n'a pas réussi à être conformes à la situation, et n'était donc pas sous le contrôle conscient de l'accusé. Il avait donc avoir une maladie de l'esprit qui devait être traité comme n'importe quel autre cas de folie médical.
Parmi les autres variations de l'automatisme est un trouble sexuel compulsif, où plusieurs personnes ont utilisé dans leur défense.
Selon le Dr Carlos Schenck, psychiatre à l'Minnesota régional Troubles du sommeil Center, il ya onze différents types de troubles du sommeil qui, collectivement, sont étiquetés sexsomnia. Les chercheurs canadiens ont inventé le terme en 2003. Sexsomnia est une forme rare mais diagnostiquée d'automatisme dans lequel les gens commettent des actes sexuels dans leur sommeil. Une femme en Australie serait de sortir de sa maison pendant le sommeil et à plusieurs reprises ont des rapports sexuels avec des étrangers. Son mari enfin son pris en flagrant délit.
Sexsomnia, qui représente environ 4 pour cent des troubles du sommeil chez les adultes, peut effectivement causer une personne psychologiquement sain de se livrer à une activité sexuelle pendant le sommeil. "Toute l'instinct de base," Schenck a déclaré pour Fox Nouvelles, "peut sortir du contexte de sommeil." Il a fait une recherche de la valeur de la littérature médicale de 56 années, a étudié les textes médicaux, et a recueilli des informations au moyen d'enquêtes, concluant que le plus grand pourcentage de personnes qui ont eu ces troubles étaient de sexe masculin. Ils ont appris ce qu'ils avaient fait inconsciemment que si un partenaire, colocataire ou victime leur a dit. Parmi les activités étaient parler vulgaire, violent la masturbation, et le viol. Les plus à risque généralement souffert d'autres parasomnies, aussi, comme le somnambulisme ou terreur nocturne. Afin d'éviter des problèmes secondaires tels que l'anxiété ou la dépression, sexsomnia doit être traitée.
Principal RAF aviateur Kenneth Ecott, 26, a été arrêté pour le viol d'une jeune fille de 15 ans. Ils avaient été à une fête dans la même maison, et, pendant la nuit, plusieurs personnes séjournant plus ont couchées sur des matelas d'air. Ecott et la victime étaient à côté de l'autre. Il avait bu une quantité considérable de vodka avant de s'endormir, et, quand il se réveilla, il se retrouva dans le jardin extérieur, nu. Il a affirmé qu'il n'avait aucun souvenir de rien entre les deux, mais la jeune fille a dit qu'elle s'était réveillé dans la nuit pour lui trouver au-dessus d'elle, l'avoir violée. Il avait ôté le pantalon qu'il avait porté au lit et enlevé ses sous-vêtements. Elle a crié, et il lui a dit de «se taire», puis se leva et s'en alla comme s'il était en transe. Ecott admis à sa famille qu'il avait commis le viol et s'est excusé, mais ils ont appelé la police.
Au procès, il a affirmé qu'il n'était pas criminellement responsable parce qu'il souffrait d'une maladie appelée "sexsomnia," et avait été endormi quand il se força à la jeune fille. «J'étais ivre,» dit-il, "et je suis allé dormir, et puis je me suis réveillé et ma vie était finie. Je me tenais en dehors complètement nu et je me demandais qu'est-ce que je faisais là."
La petite amie de Ecott témoigné en sa faveur, en disant qu'il a souvent fait des choses pour elle dans le lit pendant qu'il dormait et n'avait aucun souvenir de lui. Il avait une réputation de somnambulisme chez les membres de la RAF qui avaient servi avec lui. Ils lui ont même donné un T-shirt avec "Night Rider" imprimé sur elle comme une plaisanterie.
Londres Centre du sommeil logo
Dr Ebrahim Irshaad, du Centre du sommeil de Londres, a déclaré que l'alcool et le stress peuvent aussi être des facteurs dans ce trouble. "M. Ecott avait récemment rencontré d'Afghanistan," at-il dit, "et avaient des symptômes du décalage horaire et la privation de sommeil."
Après seulement deux heures, le jury a rendu un verdict de non-culpabilité, choquer la mère de la victime. «Je ne crois pas qu'il était somnambule," dit-elle. "Je ne sais pas ce qui se passait si sa tête."
Pourtant, il ne serait pas le seul à avoir un jury d'accepter ce moyen de défense. Paysagiste Toronto Jan Luedecke a traversé une épreuve similaire. Lui aussi, il avait beaucoup bu au croquet fête d'été en 2003 quand il a tenté de faire l'amour avec un partenaire réticent. Ils ont tous deux s'étaient endormis sur un canapé en forme de L, sur les extrémités opposées. La femme se réveilla pour trouver Luedecke sur elle. Il avait enlevé ses sous-vêtements et releva sa jupe. Elle le repoussa et dit qu'il semblait être confus, mais il avait pensé assez clairement pour mettre un préservatif. Elle a appelé la police et il a été arrêté. Lors de son procès, il a affirmé qu'il avait été somnambule et avait peu de souvenir de l'incident. Un expert des troubles du sommeil a témoigné en son nom et que le procureur n'a pas à offrir un expert pour contredire ce témoignage, le jury a acquitté. En 2008, une cour d'appel a confirmé le verdict.
Automatisme, en particulier dans le cas des troubles sexuels, demeure une défense controversée, et les résultats sont aussi inégale que tout autre moyen de défense psychologique.Souvent, il dépend de la capacité de l'expert à convaincre, car la recherche de cerveau n'est pas nécessairement définitive, et depuis une revendication de comportement inconscient peut être facilement invoquée. Inutile de dire que les victimes de crimes dans lesquels un des résultats de la défense d'automatisme dans un acquittement se sentent régulièrement que la défense viole le processus juridique et déraille justice.
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